Dans ce tunnel si sombre,
Je cherche les lanternes pour le gris,
Pas après pas, des mains se tendent dans l'ombre,
Et des lumières en émanent face à mes cris.
Plus j'avance dans cette grotesque trachée,
Plus ces lumières humaines s'éteignent derrière moi,
Le demi-tour s'impose, je les entends hurler d'être cachées,
Dans la froideur du noir, fait d'un organisme de bois.
Je me perds à règner en ce lieu,
A courir dans un cri pour voir la splendeur de ces mains,
S'animer par mes rires dans un silence sans lendemain,
Préférant me cacher dans ce noir, que de les voir se tordre sans lumière.
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Voici leur main : (Dois-je préciser "à voir absolument"?...Courez!)
b.secret
Le troubadour