Il est là, allongé sur cette emblême de baise,
L'ivresse me gagne et me met à l'aise,
Peut être même de trop à mon goût.
Le matin, il se fait brutal,
Le soir il se fait tendre et goûteux comme le velour,
De ces baisers d'amitié fatal,
Je glisse mes mains sur son satin trop lourd.
Je remplis mon âme d'amour et de sexe,
Pendant que j'entends banner ce coeur de marionnette,
Ce "moteur "se brise en miette,
Pour finir sur ce corps d'ex.
Je dédicace cette douleur aux creux de mes poignets,
Pour me souvenir que je ne suis qu'une amie,
Et que tu espère, pauvre petite conne que je suis!
Avec mes sentiments trop niais!